Le prisonnier 2

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
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il y a 11 ans

Un texte de Madame Agnès

Après son entretien avec la directrice, Antoine fut reconduit en cellule et du attendre 2 jours pour les formalités administratives. Lorsqu'on vint le chercher pour entrer dans le quartier de réhabilitation, il se sentait heureux.

On lui fit traverser plusieurs couloirs et plusieurs portes fermées à clés, puis il entra dans une salle nue aux murs blanc, avec un tabouret au milieu, une grande armoire, une table d’auscultation, et une table blanche avec deux fauteuils derrière. La gardienne qui l'accompagnait le détacha, lui dit de se déshabiller, de s’asseoir sur le tabouret et d'attendre qu'on vienne s'occuper de lui pour la visite médicale. Puis elle sorti en refermant la porte à clés derrière elle et en emportant les vieux vêtements oranges du prisonnier.

Après quelque temps d'attente, deux femmes en blouse blanche entrèrent. Elles ne lui adressèrent pas la parole et il n'osa rien dire, mais il pu lire sur leurs badges que l'une était psychiatre et l'autre médecin. La psychiatre ouvrit le placard et en sorti un dossier marqué du numéro de matricule d'Antoine, qu'elle consulta installée dans un des fauteuils. Dans le même temps, la femme médecin le fit lever et lui palpa l'ensemble du corps : d'abord le cou puis les épaules, le dos et les reins, la poitrine, le ventre, les couilles et le pubis, et enfin les jambes. Ses mains étaient douces et chaudes, elle le touchait de façon sûre et professionnelle, elle frôlait chaque parcelle de son corps avant d'appuyer légèrement. C'était bien plus doux que les contacts qu'il avait eu jusqu'à présent avec les gardiennes et les autres médecins du quartier de rétention.

Elle le fit monter sur la balance, mesura sa taille et pris quelques autres mensurations qu'elle nota.

Puis elle enfila des gants de latex blanc, lui écarta les jambes d'une petite claque à l'intérieur de la cuisse, et procéda à un examen plus poussé des testicules. C'était un peu douloureux, mais il fit tous les efforts pour ne pas bouger, afin de ne pas inciter la femme à être moins douce. Elle ne lui avait toujours pas adressé la parole et il se demandait si sa voix était aussi douce que ses mains et s'il aurait la chance de l'entendre.

Après cet examen, elle mit un peu de lubrifiant sur sa main et s'engagea dans l'anus, trouvant immédiatement la prostate. Antoine ne tarda pas à sentir la chaleur lui monter à la tête! Elle connaissait avec perfection son anatomie et ses gestes étaient sûrs. Après seulement une minute, le sperme commençait déjà à s'écouler le long de son pénis. La psychiatre eut un petit rire mais ne dit rien, et la femme médecin l'emmena près de la table d’auscultation et le fit pencher en avant.

Elle prit un instrument en acier chirurgical qui semblait assez compliqué et de forme phallique, qu'elle introduit dans l'anus d'Antoine. Puis elle actionna des manettes qui le faisaient allonger ou grossir. A partir d'une certaine taille, il se mit à gémir de douleur, puis à crier, elle observait et plaçait des points sur un graphique lorsque les réactions d'Antoine changeaient.

A la fin de cet examen physique poussé, la psychiatre prit enfin la parole. Elle lui ordonna de s’asseoir et commença l'examen de sa conscience.

"Bon, qu'as tu fait pour te retrouver en prison?"

"Ma Maîtresse avait décidé de me faire suivre un régime car mon ventre s'arrondissait trop à son goût, et comme j'avais faim, j'ai volé des biscuits dans un magasin."

"Et maintenant, que penses tu de cela?"

"Je regrette mon acte, et j'ai pu en prison retrouver ma ligne et m'habituer à subir plus de contraintes."

"Raconte moi la vie que tu avais chez ta Maîtresse."

"C'était très difficile, j'étais encore habitué à la vie à l'étranger, où les hommes sont libres de vivre comme ils veulent, et ma Maîtresse était très sévère avec moi. Je n'étais pas d'accord, je pensais qu'elle aurait du user de plus de douceur pour me donner envie de la servir."

"Raconte moi ton séjour en prison."

"En prison, les gardiennes sont bien plus sévères que l'était ma Maîtresse. Pendant le premier mois, je me rebellais et j'étais tout le temps puni. Alors on m'a mis à l'isolement pendant un mois entier. Après quelques jours là bas, je me sentais plus bas que terre, mon corps et ma fierté ne m'appartenaient plus. Au bout d'un mois, j'avais perdu toute volonté et toute notion de liberté. Je commençais à ressentir ce qu'est l'état d'esclave total."

"Que comptes-tu faire lorsque tu sortiras d'ici?"

"Je ferai ce qu'on me dira Madame."

"Si aucune Maîtresse ne veut te choisir comme esclave, tu sais que tu devras quitter le pays, car les hommes sans collier n'y sont pas tolérés, que feras tu dans ce cas?"

"J'irai m'inscrire sur le réseau Fessestivités, en espérant trouver une Maîtresse qui voudra de moi. Après le temps passé ici, je ne pourrai pas me contenter d'une vie banale et libre."

"Sur le plan sexuel, comment te décrirais tu?"

Il rougit : "Je ne sais pas trop, je jouis facilement"

"Cela signifie que tu aimes cette vie d'esclave?"

"Oui Madame, je suis un esclave dans le domaine sexuel et tous les autres domaines."

"Tu as dit au début que tu trouvais ta Maîtresse trop sévère, et qu'en prison nous étions plus dures qu'elle, que peux tu en conclure?"

"Au début, je me trompais, j'étais habitué à un mode de vie très différent, le traitement que j'ai reçu ici m'a permis de voir que j'avais besoin d'être corrigé."

"Es tu propre?"

"Pas toujours Madame, il m'arrive encore de faire pipi dans mon pantalon lorsque je suis stressé."

"Dans ce cas, nous allons te mettre une couche. Déjà que tu as souillé le sol avec ton sperme ... D'ailleurs il va falloir nettoyer ça immédiatement."

Antoine comprit ce qu'elle voulait dire, il s'agenouilla par terre et avala tout le sperme qui s'était écoulé plus tôt de son sexe. Elle lui ordonna d'aller s'allonger sur la table et le médecin lui mit une couche et une culotte plastique par dessus. La psychiatre termina son explication :

"Maintenant, tu vas rester ici, en attendant que nous délibérions sur ce qu'il convient de faire de toi, et si une Maîtresse est d'accord pour te prendre avec elle, tu resteras un an ici avant d'aller vivre chez elle. Dans le cas contraire, nous pourrons soit prolonger ton séjour, soit te renvoyer. Cela prendra quelques jours, tu dormiras sur la table et nous t'apporterons de l'eau et du pain une fois par jour. Tu as tout compris?"

"Oui Madame, je vous remercie de vous occuper de moi Madame et je serai sage durant cette attente."

A suivre...

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